vendredi 31 janvier 2014

Au Sénégal, la société civile se questionne sur ses relations avec les politiques

Quels rapports la société civile sénégalaise doit-elle entretenir avec le politique ? S’il n’existe pas de ligne de démarcation, la société civile peut-elle toujours assumer son rôle de contre-pouvoir ? Ces deux questions sont au centre d’un rapport a publié par le Forum Civil, une ONG spécialisée dans la lutte contre la corruption au Sénégal. C'est le résultat d’une enquête d’opinion réalisée sur l’ensemble du territoire et au sein de 25 organisations de la société civile...lire la suite

La présence des femmes dans les médias en remue-ménage

L'Organisation Non gouvernementale Article 19 a présenté une étude monitoring sur le sujet femmes-médias sur la période mars-avril 2013 au Sénégal.Cette étude s'est basée sur la presse écrite, la radio mais aussi la télévision. Elle est faite par le journaliste Tidjane Kassé. Dans cette étude est établi un traitement de l'information qui décrédibilise les femmes. Mais aussi, dans la plupart des médias le temps qui est réservé aux femmes est insignifiant. Sinon, c'est un temps de parole réduit. Ou bien des émissions qui ne sont pas importantes ou diffusées à des heures inadéquates. Dans les émissions de débat d'idées, intellectuelles, politiques ou tout ce qui peut faire marcher le pays, les femmes sont rarement représentées. 

Le Sénégal et Les Pays-Bas en collaboration sur le dragage du fleuve Casamance.

L'ambassadeur du Royaume des Pays-Bas au Sénégal Pieter Jan Kleiweg De Zwaan a affirmé que son pays aidera le Sénégal pour le dragage du fleuve Casamance. Il a tenu ces propos au cours d'une rencontre organisée ce mercredi au Centre d'Etude des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI). Il a aussi déclaré que La Hollande vient en aide au pays de la Téranga pour l'évacuation pendant les inondations surtout à Pikine. En dehors de cela, il y a aussi le soutient dont bénéficie le Sénégal par rapport au problème de la Langue de Barbarie.

samedi 4 janvier 2014

Des-guerres-pisse-ment:Le ''couloir de la mort'' revit!

Les marchands et autres tabliers jadis établis sur la ''route de l'Université'' plus connue sous le nom de ''couloir de la mort'' se sont aujourd'hui samedi 04 janvier 2014 levés du mauvais pied. En effet les ''marchands ambulants ont vu leurs cantines et autres étales déguerpis par des agents sous les ordres des autorités administratives et municipales. Les commerçants auraient reçu une sommation qui leur dirait de quitter les lieux depuis mardi dernier. Ce qu'ils ont tardé à faire à temps pour voir aujourd'hui leurs affaires complètement désorganisés qu'ils cherchent à caser quelque part sans beaucoup d'espoirs. Des vendeurs de vêtements, de matériels scolaires et pédagogiques (livres, cahiers, etc), d'articles électroniques (téléphones portables, clé USB, etc), ou tout simplement des gargotier(e)s totalement déboussolés ont contemplé leurs désormais anciens outil et/ou lieu de travail démantelés. Dépassés par les événements, certains ont même fini par éclater en sanglots. D'autres très frustrés, rumine une colère noire à l'endroit des autorités.Chefs ou responsables de famille, responsables tout court, ces déguerpis pour la plupart venus de milieux défavorisés, ne feront que gonfler un taux de chromage déjà un peu trop élevé. Maintenant le ''couloir de la mort'' qui était envahi d' "indésirables" peut enfin ''revivre". Il peut donc "respirer" après avoir fait sa toilette et une nouvelle peau. Ce déguerpissement entre dans le cadre de "l'assainissement" de Dakar un projet de l'équipe municipale dirigée par Khalifa Sall. Avant la route de l'Université, l'avenue Cheikh Anta Diop et la route de Ouakam ont été "nettoyés".