vendredi 23 septembre 2016
Evaluations cours informatique: Vidéo
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Évaluation cours informatique: Texte
CESTI |
Après neuf mois de formation en première année de master "médias et communication" au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI), nous voilà en période d'évaluation.Ici, il s'agit de nous évaluer en cours d'informatique, cours ayant eu lieu au premier semestre de l'année académique 2015-2016 avec M. Mountaga Cissé un blogueur.
Après neuf mois de formation en première année de master "médias et communication" au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI), nous voilà en période d'évaluation.Ici, il s'agit de nous évaluer en cours d'informatique, cours ayant eu lieu au premier semestre de l'année académique 2015-2016 avec M. Mountaga Cissé un blogueur.
dimanche 14 février 2016
samedi 13 février 2016
Quand on casse les codes du port vestimentaire, ça donne cela...
En prenant le "car rapide" pour
aller à l’école, je fais chemin avec un monsieur emmitouflé dans son joli
boubou traditionnel en basin bleu. Très élégant. Mais là où le bât blesse, il
porte des chaussures fermées. Non pas des mocassins, mais des
« basket ». Un fait que j’avais constaté pourtant une ou deux fois
environ une semaine auparavant. Mais que je croyais un « épiphénomène.
Alors là, j’ai peur que cela ne soit en train de devenir une mode…. Hélas pour
les emblématiques chaussures à la marocaine, je veux nommer les fameux « Marrakech »,
devenus trivialement « marakiss » en langue wolof. Il y a aussi à se
faire du souci pour les fameuses sandales en cuir de fabrication locale ou « dalou
Ngaay (une localité dans la région de Thiès) », dont le Président Macky
Sall invite à sa promotion.
Bleu,blanc,rouge… ou plutôt,
vert, jaune, rouge…
Autre fait qui m’a tapé à l’œil
chez le comportement vestimentaire de la gent masculine, le port de vêtements
de couleurs. Oui l’on me dira qu’on n’est pas en deuil ou qu’il fait chaud (même
si on est actuellement en période de froid, en hiver) pour porter tout le temps
du noir. Du blanc parce que tout les jours ne sont pas vendredi ou jour d’été.
Néanmoins, voir des hommes s’habiller en
(pantalons jeans) verts (menthe), violets (clairs), jaunes, etc ou tout
simplement bigarrés , des couleurs jadis réservées aux femmes, laisses à
désirer. Et ce, malheureusement, commence à faire « tendance », comme
on dit.
Tradi/moderne : traditionnel
ou moderne ?
J’en arrive en fin aux
« taille-basse », « ndokette » et autres « grands
boubous »… Pardon ! Je veux dire robes, corsets, et autre pantalons
moulants ! L’habillement traditionnel a fini d’être secoué par ce que je
vais appeler ici la « mondialisation vestimentaire ». Mamans,
grands-mères, sœurs, tantes entre autres, se drapaient dans de beaux habits
traditionnels qui leur donner plus de présence en forçant le respect et donnant
plus de charisme. Ensuite, est venue la « mode », c’est à cette
manière de se vêtir importée de l’Occident ou plutôt imposée par l’Occident
j’allais dire… Place aux ensembles
tailleurs, décolletés, jupes, etc. Cependant, même avec cette façon de
s’habiller, on est au moins constant et cohérent avec soi-même. Mais
aujourd’hui, après avoir scruté l’univers de la mode traditionnelle en suite
celui moderne, notre gent féminine a pris une nouvelle option. Laquelle ? Porter
du traditionnel en même temps que du moderne. Et comment faire ? Aller au
marché, se payer un pantalons/jeans chic et cher, ensuite aller s’acheter un
coupon de tissu que l’on va se faire coudre chez le tailleur du coin. Un
« taille-basse » ou un « marinière » marié à un « yéré
toubab ». Ce que j’appelle du « soupoucandja » …
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