ET DE DEUX, LA 43ème PROMO PREND D’ASSAUT ‘’LE SOLEIL’’

La 43^ème promo du Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI), a effectué sa deuxième sortie pédagogique ce mercredi, au quotidien national ‘’Le Soleil’’ sis à Hann dans la périphérie dakaroise.

Arrivés à 15 heures 39 minutes dans la cours du vaste siège abritant ce media de renom, ils sont retenus dans le hall quelques cinq minutes pour les formalités d’usage d’ordres protocolaires avant d’être accueillis par M. Abdoulaye DIALLO,  M. Ibrahima Khaliloulah NDIAYE et M. Daouda MANE responsable de la rédaction centrale qui les accompagnera durant toutes la visite.

Ce monsieur qui est aussi responsable dans les desks éducation et environnement présente d’abord l’astre de Hann qui a connu ‘’une longue histoire’’. En effet il a fait ses débuts à partir des années 1930 avec le nom de ‘’Paris Dakar’’. Il été nommé ‘’Le Soleil’’ par le président Léopold Sédar SENGHOR qui un jour a dit ‘’ Et si on l’appelait « Le Soleil ».’’. L’immense bâtiment  de deux étages qui l’abrite logeait le service géographique. M. MANE cite les différents directeurs qui l’ont administré. Entre autres BBARA, GGAYE, EL HADJ KKASSE, MAMADOU GEUYE et Cheikh THIAM depuis 2009.

Le quotidien a deux départements, un département administratif et un rédactionnel. Il a un personnel de 230 individus qui sont des journalistes, des prestataires, des collaborateurs mais aussi des stagiaires. M. MANA ne cache pas sa préférence des sortants du CESTI depuis sa première promotion composée des M. Djyb DIEDIHOU et M. Ives Jacques SOW aujourd’hui enseignants  dans l’école, etc.

Les visiteurs sont amenés d’abord à la salle de rédaction numéro 2 où se trouvent les desks environnements de M. MANE, société DE Souleymane Diam SY et économie. Mais aussi Mme Sata SANE qui lance ‘’ La meilleure école c’est la presse écrite’’. Là où M. Tanor DRAME dira ‘’ En Afrique on fait partie des grands’’.Puis la salle de rédaction 3 où est logée la rédaction photo, celle actualité et politique. La salle de rédaction 1 abrite le desk international qui est dirigé par Alassane DIAWARA et composé des Cheikh Aliou AMATH, Ibrahima Khaliloulah NDIAYE et Moustapha SENE. Après avoir fait un tours à l’atelier graphique et la salle de montage, ils passent a la direction avant de passer au ‘’Soleil des Sports’’. Une grande rédaction dirigée par Khalifa Babacar NDIAYE et Fantamadi KEITA.

CENTRAFRIQUE, LES SCÈNES DE PILLAGES CONTINUENT

Michel DJOTODIA

En Centrafrique les rebelles du mouvement Séléka dirigé par Michel DJOTODIA renversent le régime du président François BOZIZE dans la matinée du dimanche 24 mars 2013. Les rebelles ont pris d'assaut la capitale Bangui à partir de 07 heures en tirant des armes lourdes puis prennent le contrôle du palais. D e son vrai nom Michel Am-Nondokro DJOTOJA, chef du Séléka, est le nouvel homme fort du pays. Il suspend la constitution et gouverne par ordonnances. Mais cette situation cause une anarchie dans la capitale centrafricaine avec des scènes de pillages dans les rues qui voient boutiques et magasins dépouillés de leurs contenus. Parmi il y en a des sénégalais avec 40 boutiques et 8 magasins. Ils seraient environ plus de 200 sénégalais à vouloir rentrer au pays.

MEURTRES EN SERIE DE SÉNÉGALAIS A L’EXTÉRIEUR, UN ÉNIÈME AUX ETATS-UNIS

Le fils du ministre de l'élevage Mme Aminata MBENGUE NDIAYE, Papa Khaly NDIAYE a été assassiné ce samedi à 03 heures du matin aux Etats-unis d'Amérique. Le meurtre a eu lieu dans une ville de l'Etat de New Jersey dans un un restaurant dont il était le patron. Ce forfait est survenu suite à un conflit qui a opposé des travailleurs du restaurent à de tierces personnes qui a mal tourné. En effet le chef du local voulait séparé les belligérants avant de recevoir un coup de feu à la tête. Il est mort après avoir été transféré à l’hôpital  Le chef de la police de la ville M. Samuel DIMAO déclare que les enquêtes sont déclenché pour arrêter les criminels. Il vont s'appuyer sur les images enregistrées par les camera de surveillance.

telenovelas

LA TERANGA SÉNÉGALAISE.: MEDIA, LANGUES NATIONALES ET ORGANES DE RÉGULATION...

LA TERANGA SÉNÉGALAISE.: MEDIA, LANGUES NATIONALES ET ORGANES DE RÉGULATION...: M. Moustapha SAMB, enseignant au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information ( CESTI ) où il a été directeur des ...

MEDIA, LANGUES NATIONALES ET ORGANES DE RÉGULATION EN AFRIQUE DE L'OUEST

M. Moustapha SAMB, enseignant au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) où il a été directeur des études, chargé de cours et maître de conférence au département de sociologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et collaborateur avec l'Université Michel de Montaigne Bordeaux 3, a fait la cérémonie de dédicace de son deuxième livre "Média, langues nationales et organes de régulations en Afrique de l'Ouest" ce vendredi au West African Research Center (WARC) sis à Fann-Résidence. M. SAMB a fait ainsi la présentation de son deuxième ouvrage après "CHEIKH AHMADOU BAMBA, le missionnaire universel." dans un panel composé de M. Eli Charles MOREAU l'éditeur, M. Ousmane SENE directeur du WARC, M. BIAYE enseignant à l'UCAD et promotionnaire de M. SAMB, M. Sadibou BA membre de la coalition "Macky 2012" et ingénieur météorologue à Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et en Madagascar  (ASECNA). Le natif de Thiès et diplômé des Universités de Dakar et de Bordeaux 3, a évoqué l'importance de la presse en citant le président Thomas JEFFERSON. Celle -ci a participé à l’accélération des processus démocratiques qui ont mené aux indépendances.Mais il parle des langues nationales qui ne se sont pas émergées sur le plan médiatique en disant "Les langues nationales sont enfermées dans des ghettos culturels dit-il." Mais " Un ouvrage pour contribuer à l'émergence des sciences de l'information et de la communication en Afrique."M. MOREAU du "Nègre international" parlant des difficultés à éditer un livre lance "Au Sénégal, on est au moyen-age éditorial." et "Il y trop de protocoles qui son autant de rendez-vous ratés pendant 50 ans." Quant au politique M. BA, panéliste d'un jour, juge cet oeuvre comme "un baromètre de la démocratie".Mais aussi évoque "une crise cognitive".L'auteur met aussi en exergue un manque de traitement professionnel des langues nationales des média  avec des journalistes qui une fois professionnels n'ont pas envie de traiter l'information même en Wolof qui est parlé par 80% des sénégalais mieux que le français. Il compte ainsi sur les radios communautaires qui sont plus proches des populations surtout locales mais manquent de moyens techniques et financiers. Cette production est financée par la Mairie de Dakar qui a été représentée par M. DIOP. A noter la présence de parents, amis, promotionnaires, collègues, journalistes entre autres.

PROJECTION DE "TEY" D'ALAIN GOMIS A L'UCAD

Le terrain de basket de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) a été trop exigu pour abriter la projection du film "Tey" ou Aujourd'hui  du réalisateur franco-sénégalais Alain GOMIS ce mercredi soir à partir de 21 heures. L'enceinte du lieu d'entrainement du Dakar Université Club (DUC) était bondée de mondes. Les étudiants qui ont répondu en masse ont pris d'assaut les balcons du mythique "Pavillon A". La présence des autorités universitaires et des acteurs culturels a aussi été notée. Entre autres on peut citer le recteur de l'université, le président de l'assemblée de l'université et président du conseil d'administration du Centre des Oeuvres Universitaires de Dakar (COUD) M. Saliou NDIAYE. Était aussi sur les lieux M. Abdoulaye DIOUF SARR directeur du COUD, M. Léopold NZALE chargé de l'animation culturelle et sportive au campus de l'UCAD, M. Moustapha AMAR responsable du restaurant de Ecole Supérieure Polytechnique (ESP), M. Ibrahima MBAYE "Sopé" acteur dans le film, le rappeur et "cinéaste" Didier AWADI, M. Abdou Aziz BOYE de "Ciné-Ucad". Ousmane WILLIAM MBAYE  réalisateur du film-documentaire "Président DIA" qui a été aussi primé au Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO). Apres l'introduction du maître de cérémonie du jour M. NZALE qui ouvre la séance et présente les invités, ceux-ci vont prendre la parole à tour de rôle. C'est le directeur du COUD qui ouvre le bal sous une salve d’applaudissements par une assemblée d'étudiants conquise par le travail qu'il abat en lançant "Je ne suis pas un homme de parole mais un homme d'action" et avec le verbe très facile. Ensuite le recteur, entamant son allocution est hué par une poignée d'étudiants mécontents soit par la non orientation de certains nouveaux bacheliers soit par la non admission en master d'étudiants au département de géographie ou à la Faculté des Sciences et Techniques "FST". Mais c'est d'autres étudiants qui volent au secours de M. NDIAYE en l'acclamant pour contrecarrer les mécontents. Puis la vedette du jour qui est présentée. De père sénégalais et de mère française, M. GOMIS est né en France où il grandira et fréquentera l'école. Il est diplômé en cinématographie en maîtrise de l'Université Sorbonne. Il a gagné quelques prix dans certains festivals. Enfin la projection tant attendue de l'oeuvre qui a décroché l’Étalon d'or de Yenennga de la 23 ème édition du FESPACO en permettant ai.  Ce film qui va débuter à 21 heures et 38 minutes va raconter la vie d'un homme "Satché" incarné par l'acteur américain Saul WILLIAMS qui sait qu'il doit mourir ce jour. D'où le nom du film "Tey". Une réalisation qui a tenu en haleine un public curieux pendant 1 heure et 22 minutes.Avec des prises, plans, suspens, émotions, mystères, intrigues, du tragique, du comique, et parfois même de l'humour. 

PREMIÈRE SORTIE PÉDAGOGIQUE DE LA 43 ème PROMO DU CESTI, LA TFM OUVRE LE BAL

Les étudiants de la 43 ème promotion du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information, CESTI, ont effectué leur première sortie pédagogique ce mercredi à la Télévision Futures Médias, TFM, sise au quartier très huppé des Almadies de Dakar. Ils ont quitté l'école à 15 heures 21 minutes à bord du bus de l'école pour arriver sur les lieux à 15 heures trente-six minutes soit un quart d'heure. Accompagnés du directeur des études M. Mamadou NDIAYE, il sont accueillis à leur arrivée par l'assistante de direction.Mme Oumou Khayri NDIAYE, qui leur sert de guide. Elle sera accompagnée par la responsable des programmes Mme Khadija DAFFE. Ils commencent par la régie où sont présents la quasi totalité des techniciens. C'est M. Mountaga LY, technicien vidéo qui leur fait la visite guidée des locaux technique de la chaîne et présente l'ensemble de l'équipe composée de messieurs Pierre DASYLVA, Adama, Bamba, etc. A partir de cette régie ils effectuent l'essentiel du travail. C'est là où ils réalisent les émissions, produisent, mais aussi diffusent sur deux canaux, hertzien et satellitaire. Ensuite c'est les plateaux du journal télévisé de 14 et de 19 heures qui est combiné à celui de "Wareef". Puis les plateaux de "Setu bi", "Roffo", "L’oeil du tigre", l'édition de 20 heures, "Kouthia show", "Desk religieux", entre autres.Les cabines de montages sont aussi visitées par les pensionnaires de l'institution avec Yague comme éclaireur. Ils arrivent dans la salle de rédaction où ils sont reçus par le rédacteur en chef Khalifa DIAKHATE et le directeur de l’information. Barka Isma BA .Ils leur expliquent tour à tour comment se passe le travail dans la rédaction mais aussi comment le reporter doit travailler avec professionnalisme sur le terrain pour rendre un reportage prêt à diffuser, PAD. M. DIAKHATE qui évoque les débuts difficiles du journalisme en comparant son bizutage avec celui de l'armée.  La salle de maquillage n'est pas en reste avec la chef maquilleuse Khady NIANG qui nous fait part de l'importance du maquillage qui est la première chose qu'on voit de la personne. Il permet d'effacer les lumières et les brillances souvent à cause de la transpiration.Certains hommes sont réticents en la matière. Ici ils terminent la visite avant de prendre congé du personnel chaleureux de TFM. C'est à 17 heures que les élèves-journalistes prennent le chemin du retour.

BALAIS DIPLOMATIQUE A DAKAR, MOUHAMED VI 3ème HÔTE EN UNE SEMAINE

Après les visites officielles des Présidents maliens Dioncounda TRAORE  et libanais Michel SLEIMAN en début de semaine à Dakar  c'est le roi du Maroc qui sera le troisième hôte en moins d'une semaine. Le chef du royaume chérifien est arrivé dans la capitale sénégalaise le vendredi et a été chaleureusement accueilli depuis l'aéroport Léopold Sédar SENGHOR. Le samedi les délégations des deux pays ont tenu un dîner d'affaires qui a été présidé par le président Macky SALL et le roi Mouhammed VI. Les deux Etats ont à travers leurs gouvernements signé des accords de coopérations sur plusieurs plans. Sur le plan agricole, énergétique, minier , hydraulique, infrastructurel entre autres. Le pays de Mouhamed V et de Hassan II est le premier partenaire commercial du pays de Léopold Sédar SENGHOR et de Abdoulaye WADE en Afrique de l'Ouest avec un volume d'échange de 61 milliards en 2011 et environ 59 milliards par an. Mais les exportations marocaines au Sénégal sont de l'ordre de 90 millions d'Euros et celles sénégalaises au Maroc loin derrière avec 17 millions d'Euros.Celui qui est surnommé "le commandeur des croyances" doit rentrer ce mardi.L'amitié entre les deux nations a été magnifiée tout au long de cette visite.

OCTROI DE 650 MILLIONS DE DOLLARS DE LA BANQUE MONDIALE A L'ETAT DU SÉNÉGAL

Madame Véra SONGWE, déclare l’octroi de 650 millions de dollars de la Banque mondial à l’Etat du Sénégal  La nouvelle directrice des opérations de la B.M. déclare que cette manne   financière d'environ 320 milliards de francs CFA permettra le   à investir plus dans l’agriculture surtout dans le sud du pays, dans l’énergie, dans l’éducation, mais aussi dans l’enseignement supérieure. En conférence de presse la responsable de l’institution financière mondiale de la région Afrique de l'Ouest prédit une évolution du taux de croissance qui est aujourd’hui de 3,5% à 7% dans les années à venir. 

MALI, LE JOURNALISTE BOUCARY DAOU EN PRISON

Boucary DAOU, directeur de publication de "Le Républicain"

Accusé d'incitation à la désobéissance, le responsable du quotidien malien "Le Républicain", Boucary DAOU, a été inculpé hier lundi à Bamako par le procureur et placé sous mandat de dépôt. Le rédacteur en chef du journal de le capitale avait en effet publié une lettre ouverte le 06 mars dernier de militaires maliens qui contestaient le salaire faramineux du capitaine Amadou Haya SANOGO, chef des putschistes qui ont renversé le régime du président Amadou Toumani TOURE le 22 mars 2012. Arrêté depuis la publication de cet article, il serait détenu par les agents de renseignement du pays avant d'être traduit au parquet. Ces avocats contestent la décision de justice qui n'aurait pas agit de plein gré.

UCAD: BACHELIERS NON ORIENTES ET FORCES DE L'ORDRE SE SONT AFFRONTES

C'est à partir de dix (10) heures que les étudiants non orientés et les forces de l'ordre se se encore affrontés entre l'avenue Cheikh Anta Diop et l'entrée du campus social.Pour rappel ces nouveaux bacheliers réclament toujours une orientation dans les universités publiques, instituts de formations publiques, ou universités ou bien écoles de formations privées. Le gouvernement avait promis d'orienter onze mille (11.000) de ces étudiants dans des écoles de formations privées pour une durée de trois (03) ans à coût de cinq (05) milliards de nos francs. Parmi ces étudiants, beaucoup sont âgés de plus de vingt-trois (23) ans qui ne leur facilite pas de trouver une fin à leur revendication. D'ailleurs le professeur Saliou NDIAYE, recteur de l'UCAD, doit tenir une rencontre avec la presse à partir de onze (11) heures pour discuter de cela. 

MAGAL DE POROKHANE, LA 62 ème EDITION A VECU

Ce jeudi 14 mars a été célébré le Magal de Porokhane de l'édition 2013 qui a encore commémoré la sainte MAME MARIAMA BOUSSAU dans cette ville bénite située dans le Saloum. Il a eu lieu sous le "Ndigueul" (consigne) du Khalife générale des Mourides SERIGNE CHEIKH SIDI MOUKHTAR MBACKE qui a envoyé son porte parole SERIGNE BASSIROU MBACKE ABDOU KHADRE. L’évènement a été présidé par le Khalife de Porokhane SERIGNE MOUNTAKHA BASSIROU MBACKE. C'est le général Pathé SECK, ministre de l'intérieur qui a représenté l'Etat à la cérémonie officielle du Magal. Le chef religieux s'est montré satisfait à la réaction du gouvernement qui a répondu à leurs attentes. Mais aussi il a salué l'engagement de SERIGNE BASSIROU MBACKE "Porokhane". C'est dans ce cadre qu'a été célébrée celle qui est plus connue sous le nom de Mame DIARRA (voisine) du fait de sa proximité avec LE BON DIEU. Celle qui a été au service du Créateur et de son chef de famille (époux), a servi de model à toute femme qui tend vers la sainteté. Celle qui est surnommée "la seule femme qui fait l'objet de Magal" est la Mère de l'un, sinon le Plus Grand Saint du Sénégal, ou de l'Afrique de l'OUEST, voire toute l'AFRIQUE.

FRANÇOIS Ier, L'INVITE SURPRISE DU VATICAN!

A dix-huit heures et neuf minutes temps universel, ce mercredi, la fumée blanche s'est échappée des cheminées de la chapelle Sixteen de Rome pour annoncer l'avènement d'un nouveau Pape pour l'église chrétienne à l'issue de cinq (05) tours d'élection par les cent-cinq (105) cardinaux réunis depuis mardi à seize heures. C'est le cardinal français Jean-Louis Taurant qui prononce une heure après la célèbre phrase de "Habemus Papam" et le nom du nouveau Pape. Il s'agit d'in cardinal argentin du nom de Jorge Mario cardinal BERGOGLIO. Ancien évêque de Buenos Aires, il dirige la circonscription de diocèses d' Auca. Âgé de soixante-dix-sept ans, le religieux sud américain est un jésuite. Deux-cent-soixante-sixième (266e) successeur de Pierre, le nouveau chef de l'Eglise catholique  porte le nom de François. Puis qu'étant le premier à porter ce nom dans l'histoire de la papoté, il s'appellera François jusqu'à ce qu'il aura un autre François qui sera ainsi François II. Il apparaîtra pour la première fois sur la "Loggia des bénédictions" pour y prononcer sa bénédiction "Urbi et Orbi".Issu de l'Amérique latine, ce nouveau Pape      qui est le premier à ne pas être européen, tient entre ses mains le destin d'un monde dont le centre de gravité est situé aujourd'hui dans sa région d'origine. Il a été ainsi choisi comme le chef du Vatican malgré des noms qui ont été cités comme favoris. Il s'agit des cardinaux italiens Angelo cardinal SCOLA archevêque de Milan, le brésilien Odilo cardinal SCHERER archevêque de São Paulo, le sud africain Wilfried cardinal NAPIER archevêque de Durban, entre autres prétendants papables ou "papabili".En dépit d'un âge très avancé et une santé fragile l'argentin a mérité la confiance du conclave d'une assemblé de cardinaux en ce mois du carême chrétien.

INDÉBOULONNABLE HAYATOU !

Et de sept pour Issa HAYATOU ! L'indéboulonnable président de la Confédération africaine de Football (CAF) a été réélu ce dimanche dix (10) mars à Marrakech au Maroc. Cette énième nomination s'est passée sans suspens majeur dans la mesure où le camerounais de soixante-six ans qui dirige l'institution footballistique continentale  depuis mars 1988 était le seul candidat. Ceci a été possible grâce au rejet de la candidature de l'ancien patron de la Fédération ivoirienne de Football (FIF) Jaques ANOUMA. Ce refus est rendu effectif par ''l'amendement RAOURAOUA"  de septembre 2012 du nom de Mouhamed RAOURAOUA président de la Fédération algérienne de Football (FAF). Cette mesure stipule "Ne peuvent voter et postuler à un poste à la CAF que les membres siégeant au comité exécutif de la CAF." Ce qui va éloigner M. ANOUMA de ses ambitions de présider aux destinées de la pus grande instance du football africain malgré deux (02) recours auprès du Tribunal arbitral du Sport (TAS). A noter que c'est ce même M. RAOURAOUA, membre du comité exécutif de la Fédération Internationale de Football association (FIFA) qui a été à l'origine de l'amendement permettant à des binationaux qui ont déjà joué pour une sélection en catégorie mineur c'est-à-dire de moins de vingt-trois ans de jouer en senior pour leurs secondes patries. M. HAYATOU trônera encore sur le sommet du foot africain jusqu'en 2017.

AFFRONTEMENTS ENTRE MALIENS ET BURKINABES A DIABOUGOU

Dans le site d’orpaillage de Diabougou dans la région de Tambacounda, maliens et burkinabés se sont gravement affrontés. Accrochages qui ont fait six (06) morts et des dizaines de blessés. Cette bagarre qui a opposé ressortissants maliens et ceux du pays des hommes intègres a fait cinq (05) morts côté burkinabé et un (01) de l'autre camp. Ces affrontements ont eu lieu le mardi à la suite d'une soirée festive pendant laquelle des festins étaient ivres. D'ailleurs c'est un burkinabé en état d'ivresse qui a asséné à un malien plusieurs coups de couteau jusqu'à ce que mort s'en est suivie. Ceci a déclenché la furie des maliens qui se sont attaqués aux burkinabés dans la nuit du lendemain du jour du crime malgré une médiation du chef du village. Mais dans les jours suivants c'est d'autres morts qui qui s'en suivent. Parmi les blessés un deuxième malien et deux autres burkinabés qui succombent de leurs blessures. Ce qui prolonge ce bilan déjà macabre à neuf  (09) tués. A noter également le de déplacement des autorités consulaires des deux pays et celles sénégalaises pour régler le problème. Ce qui a été matérialisé par une réconciliation. Puis, cent-cinquante (150) citoyens du Faso regagnent leur pays d'origine en passant par le Mali pays de ''Jatiguiya'' (hospitalité).

    

INCENDIE A LA MÉDINA: NEUF MORTS ET PLUSIEURS BLESSES

Neuf morts et plusieurs blessés est le bilan d'un incendie géant survenu  à la Rue 06/19 du populeux quartier de la Médina de Dakar. dans la nuit du dimanche 03 au lundi 04 mars. C'est un taudis tenaillé par une quirielle d’immeuble qui a pris feu vers 22 heures. Cette maison qui servait de ''daara'' (école coranique) de fortune abritait une cinquantaine de ''taalibés'' (élève coranique) qu'elle servait de dortoir le soir. C'est cette demeure qui s'est consumée à l'absence du maître coranique qui n'y passait pas les nuits. Le feu a emporté avec lui neufs bouts de bois de Dieu et plusieurs autres victimes de brûlures très sévères. Du nom de Thiérno DIALLO, le maître coranique a été interpellé par les forces de l'ordre.L'intervention des soldats du feu n'a pas été facilitée par la promiscuité des lieux. Dès le lendemain matin les autorités de la République et autres hommes publiques se sont rués sur le lieu du drame. Parmi eux le Président Macky SALL.

SEPTIÈME ET HUITIEME MINARETS A LA MOSQUEE DE TOUBA

Pose de la première pierre des travaux de rénovation de la Grande Mosquée de TOUBA ce mercredi. Un septième et un huitième minaret vont être édifiés en plus des Cinq Minarets mythiques de TOUBA que tout le monde connaissait. Ces deux piliers doivent faire chacun soixante (60) mètres de hauteur et vont coûter cinq (05) milliards de francs CFA. Ces travaux confiés à Amadou Khayta DIAGNE porteront aussi sur un meilleur éclairage du lieu saint mais aussi un carrelage en marbre plus éclatant sur le revêtement de l'édifice.

JEAN CLAUDE MARUT SUR LE CONFLIT CASAMANCAIS

    

   « Analyse  géopolitique d’un conflit : l’exemple casamançais. » c’est le thème animé par le chercheur français au Centre Nationale de Recherche Stratégique (CNRS) et au Centre d’Etude d’Afrique noire (CEAN) M. Jean Claude MARUT. La conférence a eu lieu à l’occasion de la première journée« des carrefours de l’actualité » du Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI). C’est d’abord le modérateur M. Thiérno DIOP qui fait la présentation du conférencier qui a écrit un ouvrage intitulé « Le conflit de la Casamance : ce que disent les armes. »Il a aussi présente une thèse de doctorat en géopolitique sur ce confit en 1999. M. MARUT travail sur cet affaire depuis vingt ans. Puis c’est M. Moustapha GEUYE lui aussi enseignant au CESTI qui fait l’introduction du sujet. Il invite les journalistes et apprentis journalistes à un journalisme de captation et de décryptage mais tout en renforçant leur culture générale. Il a fait état de la complexité du conflit surtout sur le plan géopolitique avec un caractère souterrain de la rébellion.

MORT DU PRESIDENT HUGO CHAVEZ

Le président vénézuélien Hugo CHAVEZ est mort. C’est dans l’après-midi de ce mardi 05 mars que le vice-président Nicolas MADURO annonce en direct à la télévision nationale la mort du ‘’comandante’’. Il est mort à 16 heures 25 minutes à l’hôpital militaire de Caracas des suites d’un cancer qu’il traitait depuis deux ans. Il a subi quatre opérations qui ne lui ont pas débarrassé de cette maladie qu’il allait soigner à La Havane à Cuba.De son vrai nom Hugo Rafael CHAVEZ FRIAS, il est né le 28 juillet 1954 à Sabaneta. Militaire et homme d’Etat, il est le 52^e président de la République bolivarienne de Venezuela. Il a dirigé le pays depuis le 02 février 1999 et a été réélu deux fois. Le président CHAVEZ s’est toujours opposé à la politique américaine surtout celle étrangère qu'il jugeait capitaliste et impérialiste. Socialiste, il se rangeait du coté de Fidel CASTRO et autres révolutionnaires de la région. Son poste vaquant sera occupé par intérim par le vice-président MADURO jusqu’à ce que des élections soit organisées dans trente jours. un deuil national de sept jours est décrété par le gouvernement.

Mali: la photo qui fait dire au Tchad que Belmokhtar est mort

Cette photographie exclusive a été prise par l'envoyé spécial de RFI à Tessalit dans l'extrême nord-est du Mali. Madjiasra Nako y a été emmené dimanche 3 mars par l'armée tchadienne. Les militaires tchadiens revenant du front lui ont alors montré des photos prises sur leur téléphone portable, en affirmant que ce cadavre est bien celui de Mokhtar Belmokhtar, qui aurait été tué samedi dans la vallée d'Ametetai ...lire la suite