A dix-huit heures et neuf minutes temps universel, ce mercredi, la fumée blanche s'est échappée des cheminées de la chapelle Sixteen de Rome pour annoncer l'avènement d'un nouveau Pape pour l'église chrétienne à l'issue de cinq (05) tours d'élection par les cent-cinq (105) cardinaux réunis depuis mardi à seize heures. C'est le cardinal français Jean-Louis Taurant qui prononce une heure après la célèbre phrase de "Habemus Papam" et le nom du nouveau Pape. Il s'agit d'in cardinal argentin du nom de Jorge Mario cardinal BERGOGLIO. Ancien évêque de Buenos Aires, il dirige la circonscription de diocèses d' Auca. Âgé de soixante-dix-sept ans, le religieux sud américain est un jésuite. Deux-cent-soixante-sixième (266e) successeur de Pierre, le nouveau chef de l'Eglise catholique porte le nom de François. Puis qu'étant le premier à porter ce nom dans l'histoire de la papoté, il s'appellera François jusqu'à ce qu'il aura un autre François qui sera ainsi François II. Il apparaîtra pour la première fois sur la "Loggia des bénédictions" pour y prononcer sa bénédiction "Urbi et Orbi".Issu de l'Amérique latine, ce nouveau Pape qui est le premier à ne pas être européen, tient entre ses mains le destin d'un monde dont le centre de gravité est situé aujourd'hui dans sa région d'origine. Il a été ainsi choisi comme le chef du Vatican malgré des noms qui ont été cités comme favoris. Il s'agit des cardinaux italiens Angelo cardinal SCOLA archevêque de Milan, le brésilien Odilo cardinal SCHERER archevêque de São Paulo, le sud africain Wilfried cardinal NAPIER archevêque de Durban, entre autres prétendants papables ou "papabili".En dépit d'un âge très avancé et une santé fragile l'argentin a mérité la confiance du conclave d'une assemblé de cardinaux en ce mois du carême chrétien.
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